Titus Flavius Sabinus Vespsianus Dupondus - Vespasien de Rome, 979 (aged 69 years)

Name
Titus Flavius Sabinus Vespsianus Dupondus - Vespasien /de Rome/
Given names
Titus Flavius Sabinus Vespsianus Dupondus - Vespasien
Surname prefix
de
Surname
Rome
Birth
Profession
9e empereur de 69 à 79
Birth of a son
Birth of a daughter
about 39 (aged 29 years)
Death of a wife
before 66 (aged 56 years)
Death of a daughter
before 68 (aged 58 years)
Death
June 20, 79 (aged 69 years)
Caste
empereur
Family with parents
father
22 BCE
Birth: 22 BCE
himself
Family with Flavia Domitia de Rome
himself
partner
son
4 years
daughter
Shared note

Vespasien (latin : Imperator Caesar Vespasianus Augustus) (17 novembre 9 ñ Ü 23 juin 79) est empereur romain de 69 à 79. Il est le fondateur de la dynastie des Flaviens qui règnent sur l'Empire de 69 à 96. Ses fils Titus, puis Domitien lui succèdent
Vespasien naquit dans la pays des Sabins, au-delà de Réate, dans un petit bourg nommé Falacrines, le quinzième jour avant les calendes de décembre au soir, sous le consulat de Q. Sulpicius Camerinus et de C. Poppaeus Sabinus, cinq ans avant la mort d'Auguste. Il fut élevé chez son aïeule paternelle, Tertulla, dans ses domaines de Cosa. Aussi, quand il fut empereur, il visita souvent ce séjour de son enfance qu'il laissa tel qu'il était, ne voulant rien changer à des objets auxquels ses yeux étaient accoutumés. La mémoire de son aïeule lui était si chère, que dans les fêtes et les solennités, il continua de boire dans sa petite coupe d'argent. Après avoir pris la toge virile, il eut longtemps de l'aversion pour le laticlave, quoique son frère en fût déjà revêtu, et il fallut l'intervention de sa mère pour le contraindre à le demander. Encore y réussit-elle moins par ses instances ou par son autorité que par ses railleries ; car elle lui reprochait de temps en temps d'être le valet de son frère. Il servit dans la Thrace en qualité de tribun des soldats. Pendant sa questure, il obtint par le sort la province de Crète et Cyrénaïque. Candidat pour l'édilité et ensuite pour la préture, il n'obtint la première qu'après avoir essuyé des refus, et seulement en sixième ordre, tandis qu'il arriva à la seconde de prime abord et des premiers. Dans sa préture, il fit tout pour s'attirer les faveurs de Caius qui alors était irrité contre le sénat. Il demanda des jeux extraordinaires pour célébrer la victoire de l'empereur en Germanie, et fut d'avis de refuser la sépulture à ceux qui seraient condamnés pour crime de conspiration. Enfin il remercia Caius en plein sénat de l'honneur qu'il lui avait fait de l'inviter à souper. " Après le grand incendie de Rome, sous Néron, la ville est à reconstruire. Il multiplie les constructions publiques, notamment le Colisée qu'il entreprend en 70 (et qui est fini en 80 par son fils Titus), le Forum de la Paix (71-75) avec, en particulier le Temple de la Paix pour abriter le trésor récupéré lors de la prise du Temple de Salomon à Jérusalem et la Bibliothèque de la Paix pour entreposer, entre autres, les archives de la préfecture urbaine. Il fait refaire trois mille tables d'airain, détruites dans les flammes. C'est la plus ancienne et la plus belle collection officielle de l'empire. Elle renferme, presque depuis l'origine de Rome, les sénatus-consultes et les plébiscites sur les alliances, les traités et les privilèges accordés à chacun. Il restaure le temple de Claude sur le mont Caelius, commencé par Agrippine et détruit par Néron. Sur le plan religieux, Vespasien se targue d'être, comme Auguste, " le mainteneur (conservator) des cérémonies d'État et le restaurateur (restitutor) des temples sacrés ". ¿ Rome, Vespasien permet à chacun d'occuper les terrains vacants, et d'y bâtir, si les propriétaires négligeaient de le faire.
Vespasien meurt le 23 juin 79, à Aquae Cutiliae. Suétone rapporte que, se sentant malade, il aurait dit, se moquant de la divinisation dont faisaient l'objet les empereurs après leur mort : " Vae, puto deus fio ", " Malheur ! Je crois que je deviens dieu. " Au moment de mourir, victime d'une diarrhée qui l'épuisait, il dit : " Il faut qu'un empereur meure debout " et, tandis qu'il faisait un effort pour se lever, il expira entre les bras de ceux qui l'assistaient. Il s'attache à affirmer le caractère héréditaire du régime impérial en proclamant que ses fils lui succéderaient. Cette initiative lui vaut d'être accusé d'aspirer à la " royauté " par Priscus